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résumé de l'oeuvre de Réné Maran Batouala

BIOGRAPHIE
René Maran est né le 5 novembre 1887 sur le bateau qui mène ses parents guyanais à la Martinique (préciser la source). Sa naissance est déclarée à Fort-de-France le 22 novembre 18871. Ses parents, partis au Gabon (où son père, Léon Herménégilde Maran, occupait un poste administratif colonial), le mettent en pension, dès l'âge de sept ans, au lycée de Talence puis au lycée Michel de Montaigne de Bordeaux. Il y rencontre Félix Éboué.

René Maran débute en littérature en 1909 dans la revue lilloise de Léon Bocquet : Le Beffroi. Il quitte Bordeaux en 1910, après des études de droit, et devient administrateur d'outre-mer en Oubangui-Chari en 1912. Il écrit des poèmes, puis son roman Batouala – Véritable roman nègre – qui décrit le rite initiatique de la Gan'za, cérémonie de circoncision et d'excision –, encouragé en cela par son ami Philéas Lebesgue qu'il vient rencontrer à Beauvais dès 1915. Dans la préface de ce roman (et la préface seule), René Maran dénonce certains aspects de la colonisation, ce qui entraîne des controverses et lui vaut des inimitiés. Pour ce roman, il obtient le prix Goncourt en 1921.

Il met fin à sa carrière coloniale quelques années plus tard et continue celles d'écrivain et de journaliste littéraire et de radio à Paris où il résidera dorénavant. Durant la Seconde Guerre mondiale, il n'est pas inquiété par les autorités occupantes. Dans son ½uvre romanesque inspirée par l'Afrique, il lui arrive de montrer les rapports parfois difficiles entre Noirs et Blancs. Il est aussi un excellent écrivain animalier et dénonce la cruauté des hommes envers les animaux. Très attaché à la France, Français patriote en dépit de certains griefs qu'il exprime dans sa très belle correspondance avec Philéas Lebesgue, il écrit des biographies qui retracent la vie de « grands Français », notamment de ceux qui ont découvert les terres du futur Empire français. Dans sa correspondance, il cite souvent les trois plus grands amis qu'il admire2 : Félix Éboué, Philéas Lebesgue et Manoel Gahisto 3.

Dans les années 1930, René Maran fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal où il rencontre Léopold Senghor, Aimé Césaire, Jean Price Mars4. René Maran exprime des réserves sur le mouvement naissant de la négritude dont il dénonce les dangers :

« Considéré par les Noirs comme un précurseur de la négritude, il avouait qu'il la comprenait mal et avait tendance à y voir un racisme plus qu'une nouvelle forme d'humanisme. Il se voulait, par-dessus tout et avec obstination « un homme pareil aux autres » »
Il est enterré à Paris, au cimetière du Montparnasse (11e division6).



BIBLIOGRAPHIE
1912 : La Vie intérieure, poèmes 1909-1912, Paris, Ed. Du Beffroi, 157 p.
1921 : Batouala - Véritable roman nègre, prix Goncourt, Paris, éd. Albin Michel, 169 p. (notice BnF no FRBNF30875366)7
1922 : Le Visage calme, Paris, Ed. Du Monde nouveau, 87 p.
1924 : Le Petit Roi de Chimérie, Paris, Ed. Albin Michel, 237 p.
1927 : Djouma, chien de Brousse, roman, Paris, Ed. Albin Michel, 253 p.
1931 : Le C½ur serré, autobiographie, Paris, Ed. Albin Michel, 252 p. (notice BnF no FRBNF36566415)
1934 : Le Livre de la brousse, roman, Paris, Ed. Albin Michel, 287 p. (notice BnF no FRBNF32415554)
1935 : Les Belles images, poèmes, Bordeaux, Ed. Delmas, 83 p.
1941 : Bêtes de la brousse, Paris, Ed. Albin Michel, 253 p. (notice BnF no FRBNF32415543)
Brazza et la Fondation de l'A.E.F
1943 : Les Pionniers de l'Empire (tome 1), Paris, Ed. Albin Michel, 331 p.
1943 : Mbala, l'éléphant, Illustrations de André Collot, Paris, Ed. Arc-en-Ciel, 187 p. (notice BnF no FRBNF32415560)
1944 : Peine de c½ur (dédié à Lucien Descaves), Paris, S.P.L.E., Ed. Univers, 207 p.
1946 : Les Pionniers de l'Empire (tome 2), Paris, Ed. Albin Muichel, 413 p.
1947 : Un homme pareil aux autres, Paris, Ed. Arc-en-Ciel, 248 p. (notice BnF no FRBNF32415549)
1958 : Le Livre du souvenir, (notice BnF no FRBNF32415559)

INTRODUCTION
Le titre du roman << Batouala>>, est lui-même un symbole et tout un programme. Le projet de René Maran, d'élaborer une littérature militante et culturellement ancrée dans l'idéologie de la pensée nègre, trouve sa pleine expression dans l'espace de ce roman. Lorsque la force des hommes et leur courage résonne à l'aube ou le soir sous le rythme sonore des griots chantant la gloire des hommes qui attire les ardeurs et transforme la peur en force mystique intransigeante. Cette transformation qualitative et vitale est avant tout le fait d'une violence, mais une violence généreuse. Par transposition, le roman de René Maran, expression d'une révolte de l'intellectuel, postule la réconciliation des hommes dans l'égalité, dans l'amour mais surtout dans la responsabilité de l'homme blanc face à la destruction de la race noire.
Toutefois, contrairement à la littérature occidentale (récit des voyageurs) dont le trame essentielle tourne autour des thèmes de pardon, de responsabilité, d'évangélisation avec des personnages blancs. La préoccupation de René Maran s'oriente dans la perspective d'une dénonciation, d'une révolte. Il s'agit pour le romancier de faire le procès d'une histoire marquée par le racisme et par la domination coloniale. En d'autre terme, comme l'a noté Césaire dans << la tragédie du roi Christophe >>, il s'agit de faire remonté les nègres de l'abime noie de l'histoire à la surface de la terre. Il s'agit de passer à la verticalité (schéma de domination) à l'horizontalité (schéma d'égalité).
En outre, René Maran c'est lorsque les hommes sont égaux qu'ils peuvent se réconcilier dans les perspectives optimiste d'un bonheur collectif. Mais avant tout, le roman de René Maran explore exalte une certaine image de l'Afrique pour réaffirmer la beauté d'une culture, d'une race. Il s'agit à un mot d'exalter l'orgueil nègre. Roman de la repentance, l'accent de mélancolie et de regret qui se dégage des lignes de René Maran ne se justifient que par rapport à l'amour tyrannique du romancier pour l'Afrique. Ainsi donc, notre analyse abordera plusieurs thèmes essentiels :

ETUDE THEMATIQUE
1. Culture et conflit
Dans le roman de Batouala, l'auteur cherche à recréer une nouvelle image de l'Afrique ancrée dans sa culture. Bien que ce ne soit pas bien dramatisé dans le roman, il sera hors de lieu de ne pas le mentionner car il encapsule le paramètre temporel dans l'avènement de la politique d'assimilation des Français. Ce que le livre tente de décrier est les différents stratagèmes et politiques désagréables qui auront un impact négatif sur les personnes. Un exemple en est le premier contact qui fait écho dans le roman<< nous aurions massacré le premier qui est venu à notre village, malheureusement, nous ne le faisons pas, il serait préférable maintenant de nous résigner>>, (p 70).
Ce qui apparait dans ces images, c'est l'Afrique où il fait bon vivre, une Afrique de richesse et un espace de paix, une paix bouleversée par la présence de l'homme blanc. Le souvenir des temps merveilleux tape à la porte des hommes du village qui le rappel la longévité de la vie heureuse et tranquille le long de la grande Niougbanugi rivière entre Bessoukemo et Kemo Duadde.
Par ailleurs, les noirs ont été soumis à beaucoup de souffrances, ils ont été forcés d'être porteurs pour faire le caoutchouc et dégager les routes qui n'étaient jusqu'alors pas présent avant l'avènement de l'homme blanc. Ensuite, les noirs ne savaient que travailler, boire, manger, dormir, danser et monter leurs femmes. Encore une fois, l'imposition culturelle se trouve dans le texte comme on peut le voir ci-dessous :
Et tout d'abord, pas heureux d'essayer de supprimer nos coutumes les plus chers, ils ne cessaient jusqu'à ce qu'ils avaient imposés (page 72).
LA COLONISATION
C'est la thématique la plus importante dans << Batouala>>, dans cette littérature militante, la douloureuse de la race noire est fouillée dans ses moindres agressivités. Donc il s'agit pour l'auteur de schématiser la violence qu'a engendré l colonialisme et le refus pour le peuple noir d'être le pneu du récit de la méchanceté du blanc. L'homme qu'il reproche d'avoir été l'unique acteur de la souffrance de son peuple, par la construction de route, de ponts, de chemin de fer mais aussi par le travail forcé. Ces hommes qui les ont poussés à vendre leur caoutchouc à raison de trois francs le kilo : sondage fiscale qui a été également soulevée selon Batouala de cinq à même dix francs.
Batouala traduit la prise de conscience de l'auteur des conséquences de la colonisation sur les Africains alors qu'il est lui-même administrateur en Oubangui-Chari (qui deviendra la République centrafricaine), après avoir suivi des études en France. Difficile condition que d'être un homme noir, chargé d'administrer des Noirs dans le contexte colonial... Tiraillé entre sa fidélité à la France et la défense de l'Afrique, il ressent les contradictions de ce qui sera appelé la "double culture.
Cette ambivalence s'exprime dans la préface du livre. René Maran annonce son projet, à priori non polémique: "Ce roman est donc tout objectif. Il ne tâche même pas à expliquer: il constate. Il ne s'indigne pas: il enregistre". Il est vrai que l'½uvre reste timide sur la critique du colonialisme et en décrit plutôt les excès.
Mais le fait que René Maran rédige lui-même la préface sonne déjà comme une provocation. A l'époque, tout ouvrage indigène s'ouvre sur une introduction rédigée par un fonctionnaire colonial.

Le contenu de la préface est beaucoup moins nuancé que le roman. René Maran exhorte les intellectuels français à révéler les méfaits du colonialisme. Il dénonce avec véhémence la civilisation que l'Europe impose à l'Afrique par la force: "Tu bâtis ton royaume sur des cadavres. Quoi que tu veuilles, quoi que tu fasses, tu te meus dans le mensonge. A ta vue, les larmes de sourdre et la douleur de crier. Tu es la force qui prime le droit. Tu n'es pas un flambeau, mais un incendie. Tout ce à quoi tu touches, tu le consumes...".
AMOUR
Selon Chidi Ikonne, dans sa critique du livre <<Batouala>>, le roman est basé sur un triangle amoureux entre Batouala, yassiguindja et Bissibingui. Un amour excessif que porte Batouala pour sa femme yassiguindja. Dans cette partie l'auteur essaie de nous faire comprendre, que la femme jouait un rôle de régulateur social mais aussi des fois celui de perturbateur. Comme cette rivalité et haine constaté entre le chef du village qui se trouve être Batouala et le jeune Bissibingui qui est tombé sous les charmes de la belle femme.
Par ailleurs, René réactualise l'Afrique ancestrale pour la magnifie, c'est répondre à une idéologie occidentale.
En effet, les idéologues occidentaux avaient fait de l'Afrique un continent barbare et des Africaines, des êtres à peine développés. En définitive, cette thématique romanesque d'une Afrique rendue à elle-même est une réponse à l'idéologie raciste et colonialiste. Mieux encore, par le thème de l'amour, le romancier fait de la terre Africaine la source profonde de l'humanité. L'auteur fait une invitation à l'amour, car c'est le chemin où s'équilibre nos rêves, nos doutes et nos souffrances. Dans le roman, René atteint le sommet de l'exaltation pour élever la beauté de la femme Africaine au niveau d'une création divine qui peut être source de conflit.
L'image de yassiguindja met en relief la jeunesse et la tendresse de la jeune femme Africaine. L'Afrique devient un continent d'amour et de paix, en d'autres termes, pour René, il s'agit de faire de l'horizon de l'amour, la limite essentielle de l'existence humaine. Au-delà des races et des frontières, il faut que le c½ur de l'humanité batte à l'unisson dans le même élan exalte.
RESUME
C'est l'expérience d'administrateur préfectoral de l'auteur, Noir et Français, dans cette région africaine en 1912 qui l'a poussé à écrire. A vrai dire, un premier récit intitulé Djogoni rend compte de cette expérience et de la situation inconfortable de Noir chargé de représenter auprès d'autres Noirs la puissance coloniale, mais il sera publié à titre posthume. Dans Batouala, l'auteur donne pour la première fois aux « Nègres » le statut de personnages principaux, et même si certains intellectuels noirs ont accusé l'auteur d'ambiguïté, il n'en demeure pas moins que l'½uvre, à la relecture, possède une dimension fortement polémique et inaugurale dans le combat anticolonial. La préface de Batouala a notamment fait date. Considérée comme choquante à l'époque, elle a contraint l'auteur à démissionner en dépit du succès d'estime de son roman. On peut y lire des phrases sans équivoque telles : « Civilisation, civilisation, orgueil des Européens, et leur charnier d'innocents (...) Tu bâtis ton royaume sur des cadavres4 » ou encore « la large vie coloniale, si l'on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n'en parlerait plus. Elle avilit peu à peu », dénonçant la déchéance, la lâcheté et la cruauté des colons.
L'intervention sans équivoque de Batouala met fin à l'échange, et choisit clairement le camp de la résistance à l'oppresseur. Son discours est marqué par le champ lexical de la nostalgie d'un âge d'or révolu depuis l'arrivée des premiers Blancs. L'esclavage est violemment décrit et dénoncé par des formules rendues lapidaires par l'utilisation d'énumération de phrases nominales : « Pas de portage. Pas de caoutchouc à faire ni de routes à débrousser. », « Cases à construire, plantations à ensemencer » (p. 94). La suite du discours est plus ambiguë : « Notre soumission ne nous a pas mérité leur bienveillance » (p. 95), « Au fond, on obéirait bien aux « boundjous », sans même songer à protester, s'ils étaient seulement plus logiques avec eux-mêmes », autrement dit moins inhumains, vu ce qui précède (p. 96). Toutefois, ce dernier argument ne peut-il pas être considéré comme rhétorique ? Ne s'agit-il pas, loin de justifier la colonisation, de parvenir à rendre audible, pour un lecteur occidental de l'époque, l'argumentation anticoloniale ? D'autant que le discours se change progressivement en véritable diatribe anticoloniale. En une phrase, le roman n'est rien d'autre que l'histoire d'un homme <<le moukoundji>> (le chef de village) qui dénonce la situation dramatique de son peuple qui a commencé avec l'organisation de la fête des Gan'zas qui marque une étape cruciale dans la vie de chacun dans le village qui sera interrompue par la présence de l'homme blanc et qui prendra fin par la mort de Batouala après une rivalité rude entre lui et le jeune Bissibingui.
LES PERSONNAGES DU ROMAN DE RENE MARAN <<Batouala>>
Batouala :
Il était le chef du village de Grimari et avait neuf femmes et des animaux
Domestiques. Batouala était très riche, bien connu et honoré comme un dieu. La
Présence de l'homme blanc à Grimari porte un défi a Batouala, alors il décide de mener la lutte
Contre l'envahisseur blanc. Il critique et condamne la civilisation, voit les blancs
Comme les exploiteurs, qui exploitent la richesse du continent noir.
Yassiguindja :
La femme favorite de Batouala; elle est belle, docile, toujours prête à satisfaire les désirs sexuels de son mari, elle est aussi la femme à détruire car détesté par ses coépouses car étant non seulement la préférée de Batouala mais également la chéfesse de tous les villages que dirigeait son mari.
Bissibingui :
Le jeune rival de Batouala ; il est musclé, vigoureux et beau ; il était aussi un grand coureur de jupon. On le trouvait toujours chez Batouala même en temps de disette à la recherche de quoi manger ou boire. Avant de jeter son dévolu sur l'épouse favorite de Batouala ; il tenait une affection particulière de ce dernier.
Indouvora :
C'était la deuxième femme du chef de village Batouala. Elle était toujours en conflit avec la belle yassiguindja qu'elle considéré comme son unique et sérieuse rivale pour ce qui concerne son amour pour Batouala.
Djouma :
Le chien protagoniste du roman occupe aussi dans Batouala une place significative, en sa position de fidèle compagnon du chef de village.
Le commandant :
Il s'occupait de la coordination, et du bon fonctionnement des affaires de la colonie ; il était l'homme le plus détesté par les villageois.
LA CONCLUSION
Au bout du compte, affirmer que le message de René Maran est la cruauté de l'homme blanc n'est vrai qu'en partie. L'arriver de l'homme dans le territoire Africain au début du récit a certainement été une situation bouleversante pour les populations du village de Grimari, qui ne connaissaient jusque là que la paix et la tranquillité et s'étaient pour eux un point d'honneur de ne pas accepter la civilisation occidentale. Mais ce que René a surtout voulu montrer dans sa recherche de réalisme, c'est le milieu difficile où les populations de son histoire doivent survivre en se serrant les coudes à cause d'un manque d'humanité de l'occident qui a décidé de piller toutes les recherches du continent Africain. C'est l'esprit borné de ceux qui veulent profiter d'une bonne occasion pour liquider physiquement le village de Grimari. Enfin, on a ce qu'on mérite... telle est la leçon qu'on peut tirer du roman << Batouala>>, qui nous a permis aujourd'hui d'avoir une idée beaucoup plus claire de la souffrance de l'homme noir et de ce que caché vraiment les missions d'évangélisation de l'église chrétienne en Afrique mais aussi des réponses apportés par nos dirigeants pour faire face à cette situation d'appauvrissement du continent noir par l'action de l'homme blanc << le toubab >> un peu comme on en tire, on est fier de ce qu'à apporter René comme méthode pour combattre la colonisation.
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#Posté le lundi 06 juin 2016 11:42

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Visiteur, Posté le vendredi 12 novembre 2021 07:31

Je voudrais avoir le roman tout entier


Martin, Posté le dimanche 07 février 2021 08:34

Ce roman dépeint la cruauté de l'administration coloniale


Visiteur, Posté le jeudi 10 décembre 2020 01:43

Bon site


Visiteur, Posté le mercredi 09 décembre 2020 11:44

Nos encouragements


Visiteur, Posté le vendredi 11 janvier 2019 23:11

Excellent


TgodBuzz8308, Posté le jeudi 29 mars 2018 03:05

<<Son style témoigne d'une rare connaissance de la langue française et de ses ressources.Et pourtant il exprime les qualités les plus authentiques de sa race : force simple des images,sens du rythme et des qualités sensibles,voire charnelles des mots assemblés.>>


Abdoulaye diallo, Posté le mercredi 03 mai 2017 05:04

j'aime ce roman de René maran


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